lundi 27 août 2007

Faut-il bloguer quand même ?


Pas d'inspiration et surout pas le temps en cette fin de mois d'août, alors la question se pose : "faut-il bloguer quand même ? quitte à ne rien dire d'intérressant ? à se forcer ?" Certains (beaucoup) le font...

Bah moi ça me fait un sujet de réfléxion.
photo flickr

lundi 13 août 2007

Vision du Web

Texte sous copyright © (veuillez me citer et me laisser un commentaire pour toute copie totale ou partielle, pour tout usage)

le web de nos jours :

Aujourd’hui la base d’internet a changé, dans les premiers temps du web celui-ci n’était qu’une vitrine de savoir, des connaissances sur des sujets que l’on pouvait compulser par dossier, par thème, comme un livre dans une bibliothèque. Ce contenu ne changeait pas fréquemment car les moyens d’accès, la vitesse et donc l’utilisation de la Toile étaient bien différents que ce que l’on a aujourd’hui. C’était donc le web 1.0, cette appellation n’est utilisée qu’en comparaison avec le web 2.0 ; les premières utilisations d’internet n’étaient pas d’échanger et de partager son savoir, mais de renseigner le visiteur : la page vue était la même avant - pendant – après la visite de l’internaute, peu importait son profil ou ses connaissances. Le web 2.0 a plusieurs bases pour répondre à la nouvelle mouvance d’internet. Cette mouvance qui veut qu’un contenu reflète le temps dans lequel il est lu, intégré.

Cette nouvelle ère d’internet repose notamment sur la participation : la majorité des sites actuels permettent un échange réel entre le visiteur et les pages qu’il visite. Chacun peut rajouter du contenu, modifier parfois, ou relativisé la parole de l’auteur ou d’un de ses lecteurs. Ce plus bas niveau de partage ce sont les commentaires dans les blogs notamment où la discussion se fait surtout après l’article, par exemple un bloggeur écrit que le nouveau téléphone d’Apple est formidable, c’est son droit, mais le contenu critique peut arriver ensuite par un lecteur pas convaincu qui argumentera que pour ce prix l’appareil pouvait avoir des fonctionnalités en plus, un autre passera et donnera indiquera un site où l’on pourra effectivement voir les coûts de fabrication de l’appareil en question, le web 2.0 c’est tout d’abord ça : la parole à chacun avec les risques que cela comporte, un détracteur pourrait facilement apporter de fausses informations sur le sujet. La participation prend aussi la forme des bien connus forums, sur les mêmes bases que les commentaires de blogs, et un des exemples les plus aboutis, modèle de participation est l’encyclopédie libre «Wikipédia ». Cette encyclopédie est partie sur l’idée de partager nos connaissances tout le monde peut créer un article sur un sujet, effacer des données envoyées par quelqu’un d’autre, ou ajouter du contenu. La transparence y est bonne puisque l’on y voit facilement les dernières modifications, seuls points sujets à la critique, il peut y avoir de fausses affirmations, le temps qu’elles soient repérées car la modération y est impossible vu la quantité d’articles (8 millions en 200 langues), le consensus le manque de confrontation des points de vue en est par conséquent un autre point discutable. La participation prendra parfois de rôles de collaboration, plusieurs personnes de différents horizons ou non pourront s’associer pour publier conjointement des articles et être complémentaire ou plus réactif qu’un seul homme. Pour reprendre la métaphore du livre que l’on lisait à la bibliothèque, aujourd’hui le web se rapprocherait plus du journal que l’on reçoit chez soi, et auquel on peut envoyer un courrier de lecteur, ce journal serait même plus proche de la revue de presse que du simple magazine.

Sans rentrer dans des détails trop techniques la convergence est aussi une base d’internet aujourd’hui. On peut définir la convergence mais il est plus facile pour la comprendre d’en énoncer le but : rendre indépendant le contenu de son support, et rendre ces deux éléments indépendants du transport qui trop les conditionne. Un exemple avec le téléphone : avec un seul appareil on peut utiliser le réseau VOIP (appeler par internet), utiliser le réseau GSM (comme un téléphone portable classique), ou être facturé sur sa ligne fixe. La convergence a notamment son intérêt dans le web 2.0 si on l’associe avec l’utilisabilité. Selon l’article de Wikipédia, « L’utilisabilité ou usabilité est définie par la norme ISO 9241 comme « le degré selon lequel un produit peut être utilisé, par des utilisateurs identifiés, pour atteindre des buts définis avec efficacité, efficience et satisfaction, dans un contexte d’utilisation spécifié ». » ce néologisme regroupe donc tant la fiabilité, qu’un apprentissage simple et rapide dans le but de faire sien un système. Cette facette du web 2.0 permet via une standardisation encore timide, la mise en place d’une véritable avancé dans la navigation sur internet : l’aggregation (terme anglais). Par un système de flux, l’agrégation permet de regrouper les publications d’un site et surtout de plusieurs sites, pouvoir voir et comparer leur contenus en temps réel, ou faire des recherches par mot-clé, ces applications en ligne, ou logicielles ne sont possibles que par la syndication des informations sur le site source. La syndication est uniquement un procédé informatique qui rend possible la mise à disposition du contenu pour un tiers (logiciels de lecture, site web). D’un simple regard sur le fil RSS, qui est donc le produit de la syndication, je sais si oui ou non mes sites préférés ont eu une actualité, et je peux directement lire l’article publié.

La standardisation est un enjeu du web 2.0, en standardisant les protocoles, les codes, et les sites en général, une plus grande interaction globale entre ceux-ci sera possible. Interaction et partage vont de paire, c’est ce lien qui crée la réelle valeur ajoutée des sites d’aujourd’hui. Avec l’apparition des API, des interfaces de programmation ouvertes, un site peu utiliser de manière pratique et rapide des services proposés par un autre site, la description peut paraitre peu convaincante, mais en pratique c’est une grande chose : le plus petit des sites personnels à la possibilité d’intégrer la puissance de la recherche de Google via une API, de même la visualisation satellite d’un lieu est possible en entrant simplement l’adresse, cette fonctionnalité peu être intégrer en quelques clics à une page quelconque, en résulte alors une page interactive, pratique et bien plus attractive.

En résumé, le web est passé d’une vitrine du savoir sur laquelle on lisait les connaissances des autres, à un énorme bâtiment auquel chacun ajoute sa brique en collaboration avec l’autre. Cette transition dans laquelle nous sommes encore, et pour une durée indéterminée, car c’est aussi dans la philosophie du web 2.0 d’évoluer en continu, « béta perpétuelle », ne se fait pas d’elle-même, simplement. Elle passe par une refonte des codes d’Internet dans les deux sens du terme, pour arriver à améliorer l’expérience utilisateur, et par la modularité et l’accessibilité qui résulte de ces changements ; seule l’imagination doit pouvoir freiner l’évolution du web. La participation, la collaboration, l’interopérabilité et plus que jamais le multimédia sont au cœur de ce complexe système.



cité dans newspapermagazine.org

Journée Internationale des Gauchers


Alors là, super ! Ca nous intéresse beaucoup de savoir que c'est la journée internationale des gauchers, en même temps c'est la semaine de l'eau, comme quoi on peut tout mélanger.
A quoi celà rime-t-il de faire une journée des gauchers ? Les droitiers restent chez eux ? Ah non, c'est pour nous sortir des statistiques sur leur nombre, savoir s'ils sont plus ou moins intelligents que les droitiers, et ressortir 2 ou 3 dossiers sur les ambidextres...! Franchement, peu de personnes l'on souhaitée cette journée, nous ne sommes plus du temps où les gauchers étaient mal traités à ce que je sache ? J'en connais même personellement. Aucun intérêt selon moi.
Bon, si c'est la journée parlons-en quand même, pourquoi se priver ?
le Parisien & le NouvelObs
êtes-vous gaucher ? (on s'en fout)

Photo: flickr de falcifer

mercredi 8 août 2007

Météo


www.meteofrance.com

Pluies diluviennes, luminosité réduite, éclair, tonnerre :
Orages

Notamment à Paris, on peut se dire qu'il est normal pour un mois d'août de comporter des orages, mais où sont passées les fortes chaleurs les précédant ?

NB: la raison d'être de ce post est à 95% personnelle, merci.
Photo: http://www.flickr.com/photos/akynou

mardi 7 août 2007

jeudi 2 août 2007

Le CSA se prononce sur la prononciation du mot Août


Nous avons appris hier que le CSA (Conseil Supérieur de l'Audiovisuel) avait planché sur la prononciation adéquate du mot "Août". C'est de saison, certes. Le fait est que les journalistes avaient quelques prononciations différentes de ce mot. Mais pourquoi le CSA s'est il lancé là-dedans ? Les autorités compétentes de la langue française sont-elles si inefficaces ? L'académie française, ou le ministère de la culture surveillent-ils l'intégrité des informations diffusées, à la radio comme à la télévision...